L’aurore qui blêmit
Dans le matin si calme
Sous l’espoir endormi
Mon cœur insoumis clame
J’étais un rêveur
J’errais dans l’erreur
Au fil de mes idées déçues
Je n’ai pas pu
Trouver les larmes
L’honneur qui blêmit
Au cœur de la mitraille
Si le doute me saisit
Quand la peur me cisaille
Il faut la ferveur
L’air fier du sauveur
Au fil des illusions perdues
Je n’ai pas su
Voiler les failles
Mais tous les murs de leurs prisons
Ne peuvent enfermer l’horizon
Si l’esprit voit plus loin
L’avenir nous appartient
Nous suivrons tous le même cortège
Le sang n’a pas de privilège
Si l’histoire s’en souvient
L’avenir nous appartient
Tant que demain se lève encore
On peut rêver d’un autre sort
Amis serrons les poings
Et la rue nous appartient
La misère nous donne le droit
De transgresser toutes les lois
Le peuple est souverain
Oui la rue nous appartient
Tant que demain se lève encore
On peut rêver d’un autre sort
Amis serrons les poings
Et la rue nous appartient
La misère nous donne le droit
De transgresser toutes les lois
L’espoir est permis
Unis dans la misère
L’aurore nous sourit
Dans le matin si clair
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