Ce ne sont jamais que quelques revers
Que quelques revers de plus que tu consigner as tout au plus
Noyé
Lové
Lové à contempler encore une fois les secondes
Plongé dans un silence quit éloigne en apparence
De son chemin comme une façon des éjouer decedessein pour de bon
Lové dans cette moiteur chaleureuse tut ecoupes de cette atmosphère quelque peu malheureuse
Attiré maladivement par cette bête viscéralement bousculé au plus profond de ton etre
Les lévres à moi tie trempées dans ce mélange
Des avons en sanglantés tu sombres dans la démence
Ouverts taillés
Coulant dans le silence
Ruisselant dans l’ignorance
Ce ne sont pas ces maigres vaguelettes qui nettoieront le marasme dans le que tu te confonds
Ni de balayer ces chimères en voutant es dans un bal où s’embrassent tes merveilles
Ni le balayer ces chimères écoeurantes sur ces ol où s’embra sent puis sé teignent
Tes âmes soeurs immaculées au beau milieu deces carcasses putréfiées
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