En vrai le temps passe vite
Je vois la vie défiler
On tombe et on se relève
Mon ami n’aies pas de regrets
J’étais parmi les loups
Et j’ai pensé à elle
Les victoires, les défaites
Ah si seulement tu savais
J’ai traîné un peu de partout
Les semelles pleines de boue
Ils étaient sans état d’âme
J’aurai pu mourir
Au milieu des flammes
Et ils m’ont blessé
Les médisants
Mais m’ont rendu
Plus fort qu’avant
Ils voulaient que j’abandonne
Mais ils sont fous
Ma mère a fait de moi un homme
Le monde est à nous
Ils voulaient que j’abandonne
Je suis debout
Ma mère a fait de moi un homme
Jamais à genoux
Je les vois, je les vois, je les vois
Tous ces regards au loin
Je les vois me montrer du doigt
J’ai besoin, j’ai besoin, j’ai besoin
Seulement de la force des miens
Ils m’ont blessé
Les médisants
Mais m’ont rendu
Plus fort qu’avant
Ils voulaient que j’abandonne
Mais ils sont fous
Ma mère a fait de moi un homme
Le monde est à nous
Ils voulaient que j’abandonne
Je suis debout
Ma mère a fait de moi un homme
Jamais à genoux
Je suis loin d’être un héro
J’ai plein de gênes plein de défauts
Je suis qu’un homme, un homme
Je peux vivre d’amour et d’eau
Mais refuse les pains et châteaux
Un homme, je suis qu’un homme
Ils voulaient que j’abandonne
Mais ils sont fous
Ma mère a fait de moi un homme
Le monde est à nous
Ils voulaient que j’abandonne
Je suis debout
Ma mère a fait de moi un homme
Jamais à genoux
Je suis qu’un homme
Qu’un homme
Je suis qu’un homme
Qu’un homme
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