J’ouvre la porte, laissant ma main sur la poignée
On ne sait jamais ce qu’il pourrait t’arriver
Tu sais, dehors les hommes tombent avec la nuit
J’aimerais te protéger quand les chats seront gris
Je t’offrirai le nom des rues claires de la ville
T’évitant les coins sombres, les impasses, les imbéciles
Leurs bras tendus trop vite comme des branches noueuses
J’aimerais tant t’éviter toutes ces promesses creuses
Mais tu feras
Comme bon te semble
Tu verras
Aucune histoire ne se ressemble
Mais ne m’en veux pas
Si j’en fais plus qu’il n’en faudrait
C’est malgré moi
J’aurai toujours l’âme aux aguets
Et même ensemble
J’aurai toujours le coeur qui tremble
Tu prendras des bateaux, j’attendrai tor retour
Tu feras des voyages qui voudront tourner court
Mais où que tu t’en ailles, je garderai intact
Ton départ dans mon coeur comme le dernier impact
Mon enfant, tu prendras ta vie à bras le corps
Je passerai la mienne à veiller sur ton sort
Aujourd’hui tu t’endors dans le chambre à côté
Et je prie pour que rien ne vienne nous séparer
Mais tu feras
Comme bon te semble
Tu verras
Aucune histoire ne se ressemble
Mais ne m’en veux pas
Si j’en fais plus qu’il n’en faudrait
C’est malgré moi
J’aurai toujours l’âme aux aguets
Et même ensemble
Mais tu feras
Comme bon te semble
Tu auras
Un peau la vie qui te ressemble
Mais ne t’en fais pas
Si je ne peux pas dormir en paix
C’est malgré moi
J’aurai toujours l’âme aux aguets
Et même ensemble
J’aurai toujours le coeur qui tremble
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