Comme une ritournelle qui s’en va et revient
Si je me rappelle, non il ne manquait rien
Il y avait toujours un coin d’hiver, un coin d’été
Le temps ne manquait jamais pour ceux qui s’aimaient tendrement
On se couchait là dans l’herbe tendre
On ne faisait rien d’autre qu’attendre
Que le monde s’essouffle
Que la cohue s’étouffe
Quand on se couvrait de baisers tendres
Quand on savait encore entendre
Ce que le vent nous souffle
Ce que le vent nous souffle
Tu disais solennel que tout a une fin
Que rien n’est éternel, moi je n’en croyais rien
Il y aura toujours une place au soleil à côté
Le temps ne manquera jamais pour ceux qui restent des enfants
On se couchait là dans l’herbe tendre
On ne faisait rien d’autre qu’attendre
Que le monde s’essouffle
Que la cohue s’étouffe
Quand on se couvrait de baisers tendres
Quand on savait encore entendre
Ce que le vent nous souffle
Ce que le vent nous souffle
Il y aura toujours un coin d’hiver, un coin d’été
Le temps ne manquait jamais à ceux qui s’aimaient tendrement
On se couchait là dans l’herbe tendre
On ne faisait rien d’autre qu’attendre
Que le monde s’essouffle
Que la cohue s’étouffe
Que reste-t-il de l’âge tendre
Quand on savait encore entendre?
Ce que le vent nous souffle
Ce que le vent nous souffle
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