Longues, toutes ces heures à ne rien faire
On comble comme on peut l’ennui de nos cités sombres
La où rien ne se passe on se raconte des choses qu’on invente
Longues sont les heures
Quand autour tout se meurt alors on se raconte
Ces histoires qui font peur
Et qui sortent de nulle part mais qui comptent
Car elles crèvent pour une heure
Nous ennuie et nous laisse dans l’attente
Qu’un jour il nous arrive quelque chose
Et parfois ça se propage en un éclair
Ça amuse comme ça fait peur
Nul ne sait s’il faut y croire
Mais la légende urbaine traine
Elle court de comptoirs en trottoirs
Et s’invite entre nos murs
Les grands rient les petits ont peur
Quand la légende urbaine traine
On s’est passé le mot sans savoir si ça vaut quelque chose
On s’en moque ces histoires
C’est des portes dans le noir qu’on enfonce
Pourvu qu’elles nous éclairent
Et pimentent le décor on s’en fout
On les raconte partout
Et ça y est ça se propage en un éclair
Ça amuse comme ça fait peur
Nul ne sait s’il faut y croire
Mais la légende urbaine traine
Elle court de comptoirs en trottoirs
Et s’invite entre nos murs
Les grands rient les petits ont peur
Quand la légende urbaine traine
La légende urbaine traine
La légende urbaine traine
La légende urbaine traine
La légende urbaine traine
Comentarios
Deja tu comentario: